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Défi des grands classiques : les quarante filles (au moins) du docteur March (qui n'était pas docteur) !

Premier défi de l'année 2021, un grand classique de la littérature jeunesse qu'on peut savourer même à l'âge adulte : Little Women, en français Les quatre filles du Dr March, de Louisa May Alcott. Féministe, abolitionniste, disciple d'Emerson, cette dernière s'est inspirée de sa peu conventionnelle enfance pour raconter les aventures de nos chères Meg, Jo, Beth et Amy. Je ne saurais au reste trop vous conseiller : 

- de lire le livre plutôt que de regarder les multiples adaptations cinématographiques, sympathiques mais le plus souvent gentillettes (bon, j'aime bien les regarder aussi, c'est sucré !)

- de vous procurer la nouvelle traduction de l'ouvrage, chez Gallmeister, qui restitue enfin le texte original que l'éditeur français initial, soucieux de l'adapter "aux goûts de l'époque"  avait soumis à de nombreux outrages qui le dénaturaient passablement. Sachez juste que le Dr March du titre français  (et pourquoi le mettre dans le titre, cet homme est absent du roman ?) n'est pas docteur mais pasteur, et que la version française organise au moins un mariage qui n'existe pas dans la version de son auteur ! 

Trêve de discours et place aux illustrations de :

Mounia de Toulouse

Christine de Beaune

Serge de Dijon

Virginie de Haute-Savoie


Marie de Dijon

Denise de Dijon

Brigitte de Dijon

Brizou de Saint-Brieuc

Jean-Claude de Saône-et-Loire

François de Dijon

 

Agnès de Dijon

Jackeline de Dijon

Line de L'Yonne

 

Odile d'Urcy

et moi.

Bravo à à chacun-e, et permettez-moi de me réjouir en découvrant à la lecture de vos courriels que pour certain-e-s d'entre vous, vous en profitez pour (re)lire l'ouvrage que je soumets toutes les deux semaines à votre sagacité. Cool... Je vais faire attention à ce que je vous propose. 

Attention spoiler : je ne résiste absolument pas à rappeler cette scène d'anthologie de Friends dans lequel Joey, que Rachel a convaincu de lire Little Women et qui se passionne pour le livre, apprend ce qui va arriver à Beth : 

Affreux, n'est-ce pas ? 

...

Pour le prochain par exemple, pas sûr que quinze jours soient suffisants pour tout lire : c'est que l'ouvrage est gros. Aussi gros que le sujet, d'ailleurs, puisque je vous propose de m'illustrer

Moby Dick, d'Hermann Melville. 

 Vous avez jusqu'au  dimanche 17 janvier prochain.

Epatez-nous !

Commentaires

  1. On déplore souvent que le temps passe trop vite ; moi, je suis toujours dans l'impatience d'arriver au lundi de la publication (je ne fais pas sonner le réveil, mais presque !)
    Merci à tou(te)s.
    Denise

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  2. Tout à fait d'accord avec toi Denise c'est un rendez vous superbe et toujours ravie de découvrir les belles réalisations de chacun-ne..
    Merci Marie pour ta recherche vestimentaire de l'époque !

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  3. ...........//.............//...........//.......OUILLE... OUILLE//.......//..........//.........

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  4. Que de belles illustrations !!
    J'apprécie tout particulièrement l'élégance et la délicatesse des robes de Marie, la sagesse des jeunes filles de Mounia et la fraîcheur des visages d'Odile. Mais que se passe-t-il de si douloureux ? Une rage de dents ? Un doigt coincé dans la fenêtre ???

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  5. allons bon !! doigt coincé d'une jeune fille ?? ouille ouille!! fou rire!!

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