Un champ de bleu de méthylène après l'orage? Le fond d'un verre de curaçao bleu après le passage d'une langue anxieuse de n'en pas laisser une goutte? La campagne prussienne après la passage de la Grande Armée?
Alors, je tente encore un essai: ton pare-brise de voiture, par un petit matin frileux après que tu ais passé une éponge ou un chiffon imbibé afin de le dégivrer.
Bravo ! Tu y es presque ! Sauf que je n'ai passé aucune éponge : l'hiver a su faire ça tout seul. Il avait décoré ma voiture le matin de mon départ pour Istanbul, sans doute en guise de voeux de bon voyage (d'ailleurs ça a très bien marché). Et dire qu'il a fallu que je gratte...
Keskecè? Koikcédon?
RépondreSupprimerMagnifique ! mais comment rendre cela en aquarelle ou endessin ?! mystère.... Merci anne de ton enthousiasme pour notre projet Croquis, Croquons !
RépondreSupprimerJoli, non !? Pouvez-vous deviner de quoi il s'agissait ?
RépondreSupprimerMoi, je propose les vitres de la chambre de Raskolnikov, au mois de janvier, à sept heures du matin.
RépondreSupprimerDingue ! Comment as-tu fait pour deviner ?!!!
RépondreSupprimerNon, ben en fait : c'est pas ça. Essaie encore...
(Quoique finalement, les interprétations soient beaucoup plus amusantes que la triviale réalité)
Un champ de bleu de méthylène après l'orage?
RépondreSupprimerLe fond d'un verre de curaçao bleu après le passage d'une langue anxieuse de n'en pas laisser une goutte?
La campagne prussienne après la passage de la Grande Armée?
J'aime beaucoup la notion de langue anxieuse mais finalement tu étais (un peu) plus près avec les fenêtres de Raskolnikov !
RépondreSupprimerAlors, je tente encore un essai: ton pare-brise de voiture, par un petit matin frileux après que tu ais passé une éponge ou un chiffon imbibé afin de le dégivrer.
RépondreSupprimerBravo ! Tu y es presque ! Sauf que je n'ai passé aucune éponge : l'hiver a su faire ça tout seul. Il avait décoré ma voiture le matin de mon départ pour Istanbul, sans doute en guise de voeux de bon voyage (d'ailleurs ça a très bien marché). Et dire qu'il a fallu que je gratte...
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