Sur un poème de Victor Hugo
On n'a pas tous les jours une inspiration folle, et parfois on trouve de merveilleuses idées chez les copains ! Et les copines. C'est Izys qui a mis sur son blog de petits arbres d'un sinistre absolu. J'ai donc pompé sur elle (qui d'ailleurs ne se gêne pas pour emprunter à Dürer ou Toulouse-Lautrec, allez voir ici , c'est très bon !) et j'ai illico repris l'idée pour initier mes propres élèves. N'avez-vous jamais fait ça, petits, à l'école ? On fait une tâche de peinture assez liquide et on souffle dessus avec une paille.
Dans sa version pour adulte, cela donne un marécage passablement hugolien, parfait également pour illustrer la valeur ajoutée qu'une écriture peut apporter à un dessin rapide.
Dans sa version pour adulte, cela donne un marécage passablement hugolien, parfait également pour illustrer la valeur ajoutée qu'une écriture peut apporter à un dessin rapide.
C'est superbe ! j'adore... évidemment.
RépondreSupprimerCa s'appelle de la communication à distance !
RépondreSupprimerEt l'exercice a bien plu à mes élèves par son aspect créatif et amusant à la fois.
C'est vrai que c'est beau!
RépondreSupprimerBravo aussi à Izys dont j'ai découvert les oeuvres et qui m'a fait découvrir Shirley Trevena.
Quels talents!!!
Jolies ténèbres.
RépondreSupprimerC'est plus difficile à faire en ambiance printanière, j'avoue...
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