C'est très réussi. On s'y croirait : il y a le silence, la fraîcheur et la douce variation de la lumière...il y manque juste quelques bribes de chant grégorien poussée par le vent léger.
Montbenoît est un endroit peu connu mais vraiment joli, perdu dans la haute vallée du Doubs. Je n'ai jamais vu personne dans ce cloître à part quelques hirondelles...
Et moi que je sache. Voili,voilà, des aquarelles de Anne comme je les aimes, simples taches peut précises spontanées et bien équilibrées. L'essentiel qui crée le vivant.
A fin octobre les hirondelles étaient parties et on sent que le cloître les regrette. Il y a dans cette lumière une sorte de préparation à l'hiver, d'engourdissement des pierres comme des êtres vivants, qui se résignent à subir la froidure pour mieux goûter le printemps.
C'est très réussi. On s'y croirait : il y a le silence, la fraîcheur et la douce variation de la lumière...il y manque juste quelques bribes de chant grégorien poussée par le vent léger.
RépondreSupprimerpoussées...avec un "s" !!!!
RépondreSupprimerMontbenoît est un endroit peu connu mais vraiment joli, perdu dans la haute vallée du Doubs. Je n'ai jamais vu personne dans ce cloître à part quelques hirondelles...
RépondreSupprimerEt moi que je sache.
RépondreSupprimerVoili,voilà, des aquarelles de Anne comme je les aimes, simples taches peut précises spontanées et bien équilibrées. L'essentiel qui crée le vivant.
J'avoue : il n'y avait pas que des hirondelles à Montbenoît ! Tu y étais aussi...
RépondreSupprimerMerci pour ces compliments.
J'aime beaucoup ces deux images; l'une comme l'autre ... (Up)
RépondreSupprimerQuelle douceur! Quel calme!
RépondreSupprimerA fin octobre les hirondelles étaient parties et on sent que le cloître les regrette.
RépondreSupprimerIl y a dans cette lumière une sorte de préparation à l'hiver, d'engourdissement des pierres comme des êtres vivants, qui se résignent à subir la froidure pour mieux goûter le printemps.