Le temps des feuilles
Qu'on ne s'y trompe pas : si je vous abreuve de photos (prises pour la plupart sous d'autres cieux en d'autres temps), c'est que, le nez dans le guidon, je bosse quinze heures par jour sur mon prochain livre, ce qui me laisse en définitive peu de temps pour les propos facétieux et les considérations brillantes.
Double avantage, cependant, pour tout lecteur de ce blog : d'une part, il bénéficie de mon incommensurable expérience en matière de photographie-de-ce-que-je-vois-sans-trop-savoir-comment-on-cadre et d'autre part, il peut se mettre à piaffer psychologiquement d'impatience en attendant (dans les bacs en février 2012) mon prochain carnet de voyage Autour des grandes Traversées du Jura qui paraîtra comme d'habitude aux éditions du Rouergue. Imaginez donc son allégresse et son soulagement en février prochain...
(Et puis quand je ne travaille pas sur le livre, figurez-vous que je prépare le prochain brevet blanc de mes pauvres élèves...)
Feuilles vertes, feuilles toutes neuves, feuilles de copie, peur de la feuille blanche... C'est donc bien le temps des feuilles.
Pour une spécialiste de "photographie-de-ce-que-je-vois-sans-trop-savoir-comment-on-cadre", je trouve que tu te débrouilles plutôt mieux que ce que tu prétends.
RépondreSupprimerPour compléter, c'est même le temps des feuilles d'impôt.
Arrrrgh ! Tu as raison.
RépondreSupprimerEh bien moi, je préfère les feuilles de trucs qui poussent au bout du chemin près du petit pont, avec vue sur le château.
Na !